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Tianjin : Du commerce de quartier à l’ombre des géants

Lors d’une promenade nocturne à Tianjin en juin 2010, j’ai été confronté à deux facettes du commerce chinois. Ces deux images m’ont offert un aperçu du contraste saisissant entre le commerce de proximité traditionnel et l’expansion des géants de la distribution.

La chaleur du commerce local :

La première photographie m’a transporté dans le quotidien d’une boucherie traiteur de quartier. Alors que la nuit enveloppe la ville, cette petite échoppe reste un îlot lumineux. À l’intérieur, un employé s’affaire, nettoyant méticuleusement les vitres, peut-être en prévision du jour à venir. Plus qu’un simple commerce, ce lieu incarne l’âme d’un quartier. Il représente ces petits endroits où chaque transaction est aussi un échange, où les clients sont souvent des visages familiers.

Les géants de la distribution :

En opposition, la seconde image dépeint l’emprise grandissante des supermarchés sur le paysage urbain. Le logo lumineux « E-Mart » domine la scène, projetant son éclat sur un jeune couple assis, isolés malgré leur proximité. Au-delà de la simple vente de produits, cette image questionne l’impact des grandes enseignes sur le tissu social et culturel des villes.

Ces deux clichés m’ont rappelé l’importance de préserver la diversité et la richesse des expériences urbaines. Ils m’invitent à réfléchir sur l’évolution des modes de consommation et sur les choix que nous faisons en tant que consommateurs.

Avez-vous déjà remarqué ces contrastes dans votre propre ville ou lors de vos voyages ? Partagez vos expériences et observations dans les commentaires ci-dessous.

Pour plus de clichés de ce voyage et d’autres aventures, suivez-moi sur mon compte Instagram dédié.
@benoitbruchezphotography

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